BLOODY FALLS
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 Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?

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Lawrence Talbot
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Lawrence Talbot


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MessageSujet: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeLun 11 Aoû 2014 - 20:57

Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Wunztc
Lawrence Stewart Talbot
aka Larry

104 ans ■ 1er novembre à Llanwelly, Pays de Galles ■ technicien en optique, au chômage ■ "n'a pas le temps pour ça"


    We have the answer to all your fears.

    « Je m’en vais, Gwen. Il faut que je parte... »
    « Alors je viens avec vous. »
    « Non, vous ne pouvez pas. C’est trop dangereux. Vous ne vous enfuiriez pas avec un tueur, si ? »
    « Oh, Larry, vous n’en êtes pas un. Vous savez que vous n’êtes pas un tueur. »
    « J’ai tué Bela. J’ai tué Richardson. Si je reste plus longtemps, qui sait qui pourrait être ma prochaine victime... »

La marche nuptiale s’élevait haut dans l’église de Llanwelly, recouvrant les murmures enjoués de l’assistance, ravie d’assister à une cérémonie aussi heureuse après tous les malheurs qui avaient frappé le village. Un mariage, au même titre qu’une naissance, était toujours la meilleure raison pour une grande célébration, surtout qu’ici tout le monde se connaissait et se réjouissait pour les jeunes mariés, en attesta la vague d’applaudissements qui accompagna leur premier baiser officiel. Une seule silhouette demeurait à l’écart de la foule et des exclamations. Dans un coin sombre de l’église, un fedora vissé sur le crâne malgré l’endroit, il parvenait à passer inaperçu malgré sa haute stature, comme si sa douleur le rendait invisible aux yeux de l’assemblée extasiée. Feu Lawrence Talbot ne tint plus la brûlure que cette image de bonheur infligeait à son cœur et s’esquiva discrètement hors du bâtiment religieux en évitant toujours les regards. Trois mois plus tôt, des pleurs – et quelques éclats de rire narquois – avaient résonné dans la nef pour accompagner les funérailles de ce pauvre héritier de trente-et-un an, qui avait succombé à l’attaque d’un loup en tentant de sauver la ravissante jeune femme qui se tenait au bras de son tout nouveau mari à l’instant même. L’ironie était glorieuse. Effaçant les traces de larmes qui s’accumulaient aux coins de ses yeux, le jeune homme détourna la tête après s’être délecté une dernière fois de l’image de celle qu’il avait aimé trop peu de temps mais de toute son âme, avant que cette dernière ne lui fût enlevée. Mort ou non, il ne lui avait jamais été destiné puisque Miss Conliffe était déjà fiancée le jour où il l’avait rencontrée, toutefois il n’avait pu se défaire de l’affection qu’il portait à ses magnifiques yeux verts et à ses douces boucles blondes. Elle était un délice pour les yeux et il pouvait se vanter d’avoir, au moins temporairement, été aimé par une créature aussi délicate. Sa vie après la mort possédait grâce à elle un goût un peu moins amer ; il avait un semblant d’humanité auquel se raccrocher.

    « Vous ne croyez pas en l’existence des loups-garous, père ? »
    « D’un point de vue physique, non, il est impossible qu’un homme se transforme littéralement en loup. Je crois plutôt qu’il s’agit d’une forme de schizophrénie. Vois-tu, le Bien et le Mal logent dans toute âme humaine, il se peut que dans certains cas, la partie la plus sombre revête une forme animale. »

L’imposant Talbot Castle lui faisait désormais face, ses longues jambes l’avaient tout droit mené jusqu’à la demeure de ses ancêtres, celle dont il aurait dû hériter après la mort tragique de son frère aîné. Le sort avait décidé que le manoir familial finirait dans des mains étrangères, après tout, leur sang n’était plus méritant. Toutes les fenêtres étaient plongées dans l’obscurité si ce n’était une, au deuxième étage à droite. Sa chambre. Il imagina son père endormi sur le fauteuil installé face au lit vide, les mains refermées sur la canne qu’il avait utilisée pour ôter la vie à son propre fils, ou tout du moins au monstre qui s’était emparé de son enveloppe charnelle. Il devait tellement s’en vouloir, même si Larry n’avait jamais été son préféré. Il lui avait très tôt tenu rigueur de son départ pour les États-Unis même si ce voyage n’avait en rien été étonnant, le cadet de toute famille aristocratique se devait de voler de ses propres ailes puisqu’il n’était pas celui qui hériter des biens ancestraux, le plus âgé avait ce droit et lui uniquement. Pourtant, Larry avait dû quitter sa vie tranquille américaine pour reprendre ses responsabilités d’enfant désormais unique, un fardeau qu’il n’aurait eu à porter que quelques jours. Perdre ses deux enfants en deux semaines de temps, voilà qui était un manque de chance flagrant ; Sir John Talbot avait toujours donné énormément d’importance à la préservation de son nom, cela devait lui fendre le cœur de constater qu’il s’éteindrait après lui. A nouveau, Larry se battit contre des larmes de crocodile avant de murmurer de vagues excuses en direction de la bâtisse. Il se courba dans une révérence puis tourna les talons de manière définitive, dispersant ses adieux à son village natal sur son chemin. Jamais plus il n’y remettrait les pieds au cours de sa très longue existence.

*

Décembre 1954, San Miguel de Tucuman, Argentine. C’était la première fois que Larry était confronté à des températures aussi chaudes. Elevé au Royaume-Uni et habitué à la fraîcheur de New York, il avait du mal à se faire à l’idée qu’il pouvait encore faire plus de vingt-cinq degrés dehors au beau milieu de la nuit. Cela ne lui plaisait guère, néanmoins il avait une mission à remplir et le plus vite il la terminerait, le plus vite il rentrerait dans un climat plus clément. Les doigts de sa main gauche se mirent à jouer distraitement avec l’amulette autour de son cou sur laquelle se reflétait la lumière pâle de la pleine lune tandis que la droite poussa la porte d’une auberge animée. La musique était forte à l’intérieur, aux antipodes de ce qu’un touriste – bien qu’ils furent peu fréquents – aurait pu attendre dans un pays hispanique. Au lieu du rythme endiablé d’un tango, s’élevait les cors lourds d’une musique folklorique aux accents germaniques. Cela fit d’ailleurs grimacer le grand brun au teint pâle, intrus dans l’agitation ambiante et les corps hâlés par un soleil bienveillant. Il croisa les regards remplis de détresse de plusieurs jeunes femmes indigènes et dut se rappeler la raison de sa venue ici pour ne pas toutes les emmener loin d’ici ; elles n’allaient pas tarder à se découvrir un avenir plus positif, il allait leur venir en aide. Ses yeux clairs firent le tour de la salle plongée dans une faible luminosité jusqu’à tomber sur l’image qu’il cherchait, de trois hommes bedonnant qui s’exclamaient dans une langue qui, contrairement à l’Espagnol, il ne comprenait que trop bien. Il commanda une bière au comptoir puis se dirigea vers les éclats de rire porcins, chuchotant à l’oreille du vieillard installé à la table voisine. Ce dernier lui jeta un regard entendu, quoiqu’un peu effrayé, avant de se lever et de prendre la poudre d’escampette, emmenant avec lui quelques une des serveuses ainsi que les autres clients. Ne restaient que les européens et le barman, qui constituerait hélas le dommage collatéral de la soirée ; il ne pouvait guère le faire s’éclipser sans éveiller les soupçons de ses proies de la soirée. « Ich weiß, wie schrecklich es dort war. » Les discussions s’évaporèrent en une seconde et il sentit trois paires d’yeux lui vriller le dos. « Et on peut savoir de quoi tu parles, l’Anglais ? » Zut, son accent ne devait pas être aussi bon qu’il l’aurait pensé. Larry se retourna lentement, leur offrant un petit suspense, ses pouce et index jouant toujours avec le pendant de son collier, et les gratifia d’un sourire qui n’avait rien d’engageant, au contraire, il était dérangeant. Il se fit insulter en allemand et ferma les yeux pour s’imprégner de leur haine tandis qu’il retirait l’amulette pour la poser sur la table derrière lui. Quand il battit à nouveau des paupières, ses iris avaient perdu leur teinte bleutée naturelle au profit d’un doré agressif. Il eut à peine le temps de jeter un coup d’œil en direction de la porte, qu’il espérait être barricadée, comme il l’avait demandé au vieil homme, avant que la peau de tout son corps ne se recouvrît d’un épais pelage aussi noir que la nuit.

Sept minutes plus tard, la Bête se repaissait des entrailles de l’un des anciens commandants SS, de l’hémoglobine tapissant chaque mur de l’auberge. Le barman était effondré sur l’une des tireuses à bière, son sang coulant goutte à goutte dans le verre positionné dessous. Un seul des allemands respirait encore, à peine, sa gorge rempli de liquide dans lequel il ne tarderait pas à s’étouffer, dans le meilleur des cas. Ce dernier se remémora la dernière fois où il avait vu autant de sang autour de lui et une larme de culpabilité roula sur sa joue, il avait été fou de croire qu’il pouvait échapper au destin et à la vengeance de toutes les âmes qu’il avait torturées pendant la guerre.

*

Réveillé à l’aube par les premiers rayons de soleil, comme chaque jour, Larry détaillait avec un sourire béat la silhouette nue allongée à ses côtés. Les doigts de sa main droite étaient posés sur l’os de sa hanche, caressant avec une tendresse inattendue sa peau aussi douce que son caractère était dur. Il avait du mal à imaginer que la délicate créature qui partageait présentement sa couche avait fait le serment de lui faire la peau des années auparavant, elle lui paraissait si calme et sereine, si belle, dans son sommeil. Ses paupières se mirent à remuer et Talbot se demanda si elle rêvait de lui, des souvenirs de la folle nuit qu’ils venaient de passer dans les bras l’un de l’autre. Non, c’était idiot, elle n’était pas ainsi faite. Ses songes devaient être remplis de haine et de vengeance, si elle visualisait quelque chose, c’était la Bête, qu’elle devait être en train de décapiter avec férocité. Cette idée le fit sourire de plus belle. Quelle délicieuse ironie que de se retrouver dans les draps de celle qui avait plus d’une fois attenté à ses jours, qui s’était parfois dangereusement approché de la réussite. La chasseresse avait laissé plus d’une marque – heureusement aujourd’hui disparue – sur le corps de l’homme centenaire, et aujourd’hui elle en déposerait une d’une différente sorte. « Qu’est-ce qui te fait sourire bêtement comme ça ? » demanda une voix endormie et il pouffa en baissant son regard clair sur le visage grimaçant de la demoiselle. Il se pencha pour déposer un doux baiser sur son épaule avant de caresser l’endroit avec son pouce. « Je me disais juste que j’avais rarement eu l’occasion de contempler une si belle femme au réveil. » Abbigail pouffa puis leva une main pour le faire détourner la tête. « Séducteur de pacotille. » Elle devait avoir du mal à croire qu’elle avait pu succomber à un tel individu, Larry lui-même n’en revenait pas d’avoir réussi à user de ses charmes pour parvenir à craqueler son importante carapace et s’y frayer un chemin. La brunette fit glisser ses doigts le long de son menton barbu, de son cou, dessinant le contour de sa clavicule avant d’attraper le pendentif qu’il portait autour de sa gorge, elle le détailla longuement avant de le relâcher pour poursuivre ses caresses jusqu’à s’arrêter sur la marque en forme d’étoile sur son torse. « Qu’est-ce que c’est ? » interrogea-t-elle d’une petite voix. Il se passa la langue sur les lèvres, suivant la direction de son regard avant de hausser les épaules. Pourquoi s’inquiétait-elle d’une unique cicatrice quand elle-même en était recouverte ? Mais elle le fixa avec insistance, ses ongles rentrant dans la chair de ses pectoraux afin d’obtenir une réponse.

Dans une profonde inspiration, il se pencha pour s’emparer une ultime fois de ses lèvres, murmurant contre elles :
« C’est la marque du loup, Chérie... » Le premier réflexe d’Abbie fut de pouffer devant l’idiotie de son compagnon de la nuit, puis son visage se décomposa lorsque ses neurones se mirent à additionner les diverses variables de l’équation. L’expression amouraché de Larry laissait peu à peu place à un sourire désinvolte et victorieux tandis qu’il pouvait sentir la nausée qui s’emparait de la jeune femme. Enfermé dans son orgueil, il ne vit pas le puissant coup de coude arriver dans son nez qui craqua douloureusement lors de l’impact. Le choc l’assomma quelques secondes dont elle se servit pour s’extirper hors du lit, envoyant le drap autour de la tête de son ennemi juré pour l’aveugler et en profiter pour lui asséner un nouveau coup dans la tempe. Il n’y voyait plus rien, ses oreilles sifflaient, mais il se débarrassa de la couverture au moment même où un pied arriver dans sa direction. Il l’esquiva en se jetant en bas du lit, s’écrasant au sol de toute sa masse. « Attends, attends ! » Elle avait eu le temps de récupérer ses sous-vêtements et de les enfiler, la seule défense dont elle semblait avoir besoin en cet instant. Il leva les paumes devant lui en signe de rédemption. Il savait qu’elle n’avait actuellement rien sur elle pour le tuer mais il n’avait plus envie de se prendre une raclée. C’était douloureux. « Tu as tué mon père, espèce de monstre ! » Il grimaça, touché. « Cela ne va pas jouer en ma faveur mais ce n’était pas exactement moi. Pas de ma faute si ton père a voulu jouer au plus malin en traquant une bête assoiffée de sang sur son propre terrain de chasse. » Il eut à peine l’occasion de prononcer sa dernière syllabe qu’un genou lui fracassait la mâchoire inférieure. Aïe. Il avait bien envie de la supplier d’arrêter le massacre, néanmoins il était désormais incapable d’articuler le moindre propos sans ressentir une effroyable douleur dans son crâne. Il ne cherchait pas à être galant en se laissant taper dessus de la sorte, l’héritière Van Helsing était tout simplement plus rapide que lui, et son égo n’appréciait guère, même s’il connaissait tout de ses particularités de chasseresse, depuis le temps qu’il la filait – alors qu’elle croyait être celle qui le traquait. « Abbie..., » implora-t-il, de ses petits yeux humides de chien battu. Il crut lire un doute dans son regard sombre et il profita de cette fenêtre pour attraper la jambe qui le gardait en respect, pied contre sa gorge, la releva d’un mouvement sec qui fit tomber la jeune femme dans un cri de frustration. Il n’attendit pas de s’assurer si elle allait bien ou était encore fâchée contre lui, il fila à l’anglaise par la fenêtre, remerciant le ciel du choix judicieux d’être descendu dans un motel et non dans un hôtel de dix-huit étages.

Dans sa course folle, il ne se rendit compte que trop tard que, a) il était nu, b) il avait laissé ses vêtements ainsi que son portefeuille dans la chambre, offrant accès à toutes les informations sur son compte à celle qui voulait l’exterminer. Tout ça pour un coup d’un soir. Tout ça pour une petite revanche malhonnête. Voilà qui allait faire payer longtemps Lawrence Talbot pour sa fierté déplacée.


    It's short, it's simple, it's crystal clear.

Il a une cicatrice en forme d’étoile sur le torse, à l’endroit où jadis il a été mordu par le loup-garou. • Il était aux Etats-Unis depuis dix-huit ans quand il a dû retourner dans son Pays de Galles natal à cause d’un accident de chasse qui a coûté la vie à son grand frère. • A la suite de sa transformation, il a longtemps cherché à supprimer le sortilège, de tous les moyens possibles et imaginables, du plus farfelu au plus scientifique. En vain. • S’il était autrefois un homme à femme, séducteur avéré, ses préférences ont évolué au fil des années et il est désormais intéressé par tout ce qui marche sur deux jambes, parle et respire. • Il a toutefois du mal à jeter son dévolu sur des individus qui lui sont accessibles, il n’aime apparemment pas la facilité. • Il n’a pas le contrôle de sa forme animale mais prie avant chaque pleine lune qu’il ne blessera personne. Tuer ne le dérange pas, mais répandre sa maladie serait affreux. • Le dernier Talbot connu trouva la mort en 2001, sans héritier. Grâce à des connaissances et une belle part d’entourloupe, Larry parvint à prouver qu’il était membre de cette famille et les tests ADN jouèrent en sa faveur. Il a par conséquent hériter d’un petit pécule, certes pas aussi important qu’à l’époque de son père, mais qui lui permet d’aller de l’avant sans trop se faire de souci. • Il est obligé de refaire ses papiers d’identité tous les cinq ans, pour que la date de naissance reste crédible.


    It's round about and it's somewhere here.
    AVATAR : James D'Arcy, darling.
    PSEUDO : Madame D'Arcy.
    Où avez-vous connu le forum ? Au cimetière du village.
    What else ? Nan mais j'en viens à maudire forumactif et ne plus oser poster mes squelettes de fiche, là, ça craint...

    gifs ©


Dernière édition par Lawrence Talbot le Mar 19 Aoû 2014 - 19:45, édité 8 fois
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Abbigail Van Helsing

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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeLun 11 Aoû 2014 - 22:12

Woah les yeux sur la bannière  Shocked Surprised 
 panic panic woot woot bigheart bigheart 
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Pip Griffin

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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeLun 11 Aoû 2014 - 23:49

La bannière est trop belle bigheart Et pareil pour les fiches, obligée d'enregistrer même les codes Sleep 
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Lusi de Winter

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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeMer 13 Aoû 2014 - 0:14

Je plussote à tout : bannière époustouflante, code chiant et superbe fiche. Ca paraît prometteur.  brill 
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Lawrence Talbot
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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeMer 13 Aoû 2014 - 2:02

C'est juste deux photos côte à côte, n'exagérons rien  Laughing 

J'hésite à faire une anecdote sur chaque décennie de sa vie, à ce rythme  boulet 
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Pip Griffin

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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeMer 13 Aoû 2014 - 21:29

Schmitt est en Argentine !! Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? 275221225 
Il a vengé Pip aussi  13 
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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeJeu 14 Aoû 2014 - 0:48

Je me suis rendue compte trop tard du plagiat inconscient que j'ai fait Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? 447686886 Alors on va dire que c'est un hommage, plutôt  Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? 8115694 
Qui ça ? Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? 3990914994 
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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeJeu 14 Aoû 2014 - 14:41

lawrence talbot a écrit:
Il ne cherchait pas à être galant en se laissant taper dessus de la sorte, l’héritière Van Helsing était tout simplement plus rapide que lui, et son égo n’appréciait guère,

 Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? 1919368252 Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? 1919368252 
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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeMar 19 Aoû 2014 - 19:46

boulet 

Bref, validée  Cool 
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MessageSujet: Re: Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide?   Larry ⚪ If I'm different from the rest, do I have to run and hide? Icon_minitimeMar 19 Aoû 2014 - 21:45

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